Présentation
La première fois
La première expérience sexuelle est un moment important, empreint d'inconnu, que l'on soit timide ou confiant. Il est tout à fait naturel de se poser de nombreuses questions. Pour y répondre et se rassurer, il est conseillé d'en parler avec des personnes de confiance : amis, famille, médecin traitant ou gynécologue.
La décision de commencer sa vie sexuelle est personnelle et ne doit pas être prise à la légère. Il est essentiel de se sentir prêt, quel que soit son âge. Le consentement est primordial : personne ne doit se sentir obligé de franchir le pas. Si l'envie est présente, il est important de communiquer ouvertement avec son partenaire, d'exprimer ses désirs, ses doutes et ses limites. Il est tout à fait possible d'éprouver des sentiments forts pour quelqu'un sans pour autant avoir envie de relations sexuelles.
Pour une première expérience réussie, la préparation est essentielle. Il est recommandé d'utiliser des préservatifs, seule protection efficace contre les infections sexuellement transmissibles (IST) et les grossesses non désirées. Il est préférable de se familiariser avec leur utilisation avant le rapport. Le cadre dans lequel se déroule la première fois est également important : intimité, sécurité et confort sont de mise. L'alcool est à proscrire, car il peut altérer le jugement, le consentement et les sensations.
Si la première fois ne correspond pas aux attentes, il ne faut pas se décourager. La sexualité est une découverte progressive, et les expériences suivantes seront probablement plus satisfaisantes. La communication et la confiance avec son partenaire sont essentielles pour une vie sexuelle épanouie.
Si vous le souhaitez, vous pouvez adresser à votre médecin ou à divers organismes comme les centres santé sexuelle (CSS - ex centres de planification ou d’éducation familiale). Des spécialistes sont présents, ils ne sont pas là pour juger mais pour vous informer, ils répondent à vos questions et délivrent gratuitement et de façon anonyme des moyens de protection et de contraception aux mineurs et aux non assurés sociaux.
www.onsexprime.fr
www.filsantejeunes.com
www.cestcommeca.net/
Bien vivre sa sexualité
Pour vivre une sexualité épanouie, il est essentiel de maîtriser les notions de consentement, de majorité sexuelle et d'orientation sexuelle. Cela permet d'agir dans le respect de soi-même et de ses partenaires.
Le consentement
En France, bien qu'il n'existe pas d'âge légal pour les relations sexuelles, l'âge du consentement est fixé à 15 ans. Cela signifie qu'à partir de cet âge, une personne est considérée comme capable d'exprimer son accord libre et éclairé pour un acte sexuel. Le consentement peut être retiré à tout moment, et le silence ne vaut pas approbation. Toute relation sexuelle sans consentement est considérée comme une violence sexuelle et est punie par la loi.
Le consentement doit être donné personnellement, en toute conscience et sans influence extérieure. Il est impossible de consentir sous l'emprise de l'alcool, de drogues, ou dans un état d'inconscience. De plus, des restrictions existent concernant les partenaires sexuels des mineurs. Les relations sexuelles sont interdites avec une personne majeure ayant autorité sur le mineur, avec une personne non consentante, ou avec un membre de sa famille.
Les règles suivantes s'appliquent en fonction de l'âge :
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À 13 ans ou moins, les relations sexuelles sont autorisées avec des adolescents de moins de 15 ans, à condition qu'il n'y ait pas une trop grande différence d'âge, et avec des personnes de moins de 18 ans.
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À 14 ans, les relations sexuelles sont autorisées avec des personnes de moins de 15 ans, à condition qu'il n'y ait pas une trop grande différence d'âge, et avec des personnes de moins de 19 ans.
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À partir de 15 ans, les relations sexuelles sont autorisées avec des personnes de moins de 15 ans, à condition que la différence d'âge ne soit pas trop importante, et avec des personnes de plus de 15 ans.
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À 18 ans, les relations sexuelles sont autorisées avec des personnes de plus de 13 ans.
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À plus de 18 ans, les relations sexuelles sont autorisées avec des personnes de 15 ans ou plus.
Pour plus d'informations, consultez le site :
www.onsexprime.fr/la-sexualite/ok-ou-pas-ok/majorite-sexuelle-avec-qui-je-peux-avoir-des-rapports-sexuels
Sexualité et pornographie
Une étude récente de l'Arcom révèle qu'une majorité de garçons dès l'âge de 12 ans consacrent en moyenne une heure par mois à la consultation de sites pornographiques. Cette pratique est nettement moins répandue chez les adolescentes, et l'écart entre les deux sexes se creuse avec l'âge. Entre 14 et 18 ans, les jeunes filles sont deux fois moins nombreuses que les garçons à regarder ce type de contenu et y passent deux fois moins de temps.
Ces visionnages ne sont pas sans conséquences et peuvent avoir un impact négatif sur la perception de la sexualité chez les jeunes. Ils peuvent engendrer des complexes, fausser la représentation de la réalité des relations sexuelles et conduire à des comportements inappropriés, voire violents. Près d'un quart des jeunes affirment que la pornographie a eu un impact négatif sur leur vie sexuelle, et 44 % de ceux ayant déjà eu des rapports sexuels reconnaissent avoir tenté de reproduire des scènes ou des pratiques issues de films ou vidéos pornographiques.
Or, ces contenus sont loin de refléter la diversité et la réalité des relations sexuelles. Il n'existe pas de norme en matière de sexualité, et le consentement mutuel est essentiel. Les limites à ne pas franchir sont celles fixées par la loi, qui condamne fermement les violences sexuelles.
Au-delà de la pornographie, la banalisation de la violence dans les séries, romans ou films peut également avoir une influence néfaste. Le succès du genre littéraire de la dark romance, qui met en scène des relations amoureuses violentes, notamment auprès des jeunes filles, suscite des inquiétudes quant à la normalisation de comportements irrespectueux ou violents.
Pour contrer ces idées reçues, il est essentiel de dialoguer avec des professionnels ou des interlocuteurs de confiance. Des services tels que Fil santé jeunes (0 800 235 236) ou le tchat Comment on s'aime de l'association En avant toutes (https://commentonsaime.fr) sont disponibles pour répondre aux questions et apporter un soutien. Le site www.onsexprime.fr de Santé publique France propose également une FAQ complète sur la sexualité.
Afin d'informer et de soutenir les parents dans la protection de leurs enfants, le gouvernement a mis en place le site https://jeprotegemonenfant.gouv.fr. Ce site offre des outils de contrôle parental et des ressources éducatives sur la sexualité, encourageant ainsi le dialogue ouvert entre parents et enfants.
L'orientation sexuelle
L'orientation sexuelle désigne l'attirance d'une personne envers d'autres personnes, que ce soit sur le plan affectif, émotionnel ou sexuel. Elle peut varier considérablement, allant de l'attirance exclusive pour le sexe opposé (hétérosexualité) à l'attirance exclusive pour le même sexe (homosexualité), en passant par l'attirance pour les deux sexes (bisexualité), l'attirance indépendante du genre (pansexualité) ou l'absence d'attirance sexuelle (asexualité). Il est important de noter que l'orientation sexuelle peut évoluer au cours de la vie.
Toute forme de discrimination fondée sur l'orientation sexuelle est inacceptable. La Journée internationale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, célébrée le 17 mai, rappelle l'importance de lutter contre ces discriminations et de défendre le droit de chacun à vivre sa sexualité librement.
Il est essentiel de distinguer l'orientation sexuelle de l'identité de genre. L'identité de genre est le sentiment profond et personnel d'être un homme, une femme, les deux, ni l'un ni l'autre, ou quelque part entre les deux. Elle ne correspond pas toujours au sexe assigné à la naissance en fonction des organes génitaux. Une personne peut être cisgenre (son identité de genre correspond au sexe assigné à la naissance) ou transgenre (son identité de genre diffère du sexe assigné à la naissance). Les personnes non binaires, par exemple, ne se reconnaissent ni comme hommes ni comme femmes, ou se reconnaissent comme les deux à la fois. La diversité des identités de genre est aussi vaste que la diversité des individus.
Pour plus d'informations, vous pouvez consulter le site https://questionsexualite.fr.
Le premier rendez-vous gynécologique
La première consultation gynécologique peut être réalisée par un médecin généraliste, un gynécologue ou une sage-femme, dans divers lieux tels que les centres de santé, les cabinets médicaux privés, les centres de santé sexuelle ou les hôpitaux.
Une consultation gratuite
Pour les jeunes de 12 à 25 ans, l'Assurance Maladie prend en charge une première consultation gynécologique, ainsi qu'une consultation annuelle, sans avance de frais (sauf dépassements). Les consultations dans les centres de santé sexuelle sont gratuites et anonymes pour les mineures. Les tarifs varient ailleurs, il est donc conseillé de se renseigner lors de la prise de rendez-vous et de préciser si l'on préfère une praticienne ou un praticien.
Pour trouver un centre de santé sexuelle : https://ivg.gouv.fr/annuaire-des-centres-de-sante-sexuelle ou www.planning-familial.org/fr.
Comment ça se passe ?
L'examen gynécologique n'est pas obligatoire lors de la première consultation, sauf en cas de problème ou à la demande de la patiente. Il est possible de choisir son professionnel de santé et d'en changer. La consultation est un espace pour poser toutes les questions relatives au corps, à l'intimité, à la sexualité, à la contraception et aux problèmes de santé sexuelle.
L'accompagnement par un proche est possible, et l'autorisation parentale n'est pas requise, même pour les mineures. Le secret médical garantit la confidentialité des échanges. Si la patiente est accompagnée, un moment de confidentialité sera ménagé.
D'autres motifs de consultation
En cas de retard de règles ou de douleurs abdominales intenses, une consultation urgente est recommandée. Après un rapport non protégé, la pilule du lendemain est disponible gratuitement en pharmacie, et le dépistage du VIH et de certaines IST est gratuit en laboratoire pour les moins de 26 ans.
Pour plus d'informations sur le déroulement de la consultation, la brochure de Santé publique France est disponible en ligne : www.santepubliquefrance.fr.
La première consultation est également l'occasion d'aborder des sujets spécifiques à l'adolescence, tels que l'endométriose, le syndrome des ovaires polykystiques, le syndrome de choc toxique menstruel et les papillomavirus.
L'endométriose, une maladie inflammatoire chronique, touche environ 10 % des femmes et est difficile à diagnostiquer. Voici plusieurs sources pour vous informer sur les symptômes, les traitements, la prise en charge, les recherches effectuées et la stratégie de lutte déployée contre cette maladie.
Le syndrome des ovaires polykystiques, souvent présent à la puberté, entraîne des troubles menstruels, une pilosité excessive et de l'acné.
Le syndrome de choc toxique menstruel est une infection aiguë causée par une toxine staphylococcique, liée à l'utilisation de protections internes.
Les papillomavirus, très répandus, peuvent causer des cancers, et une vaccination est recommandée entre 11 et 19 ans.
La contraception
Lorsqu'on débute sa vie sexuelle, le choix de la contraception est une étape cruciale. Il existe diverses méthodes, mais le préservatif reste souvent la première option, car il protège à la fois des grossesses non désirées et des infections sexuellement transmissibles (IST).
L'accès à une contraception gratuite
Pour faciliter l'accès à la contraception, toutes les femmes de moins de 26 ans peuvent bénéficier d'une contraception gratuite. Cela inclut les pilules hormonales de 1re ou 2e génération, l'implant contraceptif hormonal, le stérilet, le diaphragme, les progestatifs injectables, la contraception d'urgence hormonale et, depuis le 1er janvier 2023, certains préservatifs externes (masculins) et internes (féminins). La gratuité couvre également la consultation médicale ou avec une sage-femme, le bilan biologique et tous les soins liés à la contraception. Cependant, les crèmes spermicides, les patchs, les anneaux vaginaux, les capes cervicales et les pilules de 3e et 4e générations ne sont pas inclus.
Toutes les mineures, même celles de moins de 15 ans, ont accès à la contraception gratuite. Si une mineure souhaite rester anonyme, elle peut obtenir une ordonnance portant la mention « contraception mineure » auprès d'un médecin généraliste. Elle présente ensuite cette ordonnance à la pharmacie, sans avoir à avancer les frais. La carte Vitale n'est pas nécessaire, car le pharmacien utilise un numéro anonyme pour le remboursement par l'Assurance maladie.
L'utilisation d'une contraception est essentielle pour éviter une grossesse non désirée, car les jeunes femmes peuvent être fertiles dès la puberté. Que votre vie sexuelle soit récente, régulière ou irrégulière, il existe une variété de méthodes contraceptives adaptées à vos besoins. Il est important de choisir la méthode qui vous convient le mieux.
À noter : N'oubliez pas que le préservatif est le seul contraceptif qui protège contre le VIH et les autres IST. Pour une protection optimale, il peut être combiné avec une autre méthode contraceptive. Il est crucial de ne jamais utiliser deux préservatifs masculins en même temps, ni un préservatif masculin et féminin simultanément.
Pour obtenir des informations complètes sur les moyens de contraception, vous pouvez consulter le site https://questionsexualite.fr/choisir-sa-contraception.
Les différents moyens de contraception
Les préservatifs
Le préservatif, qu'il soit masculin ou féminin, est une méthode contraceptive efficace pour prévenir les grossesses non désirées et se protéger contre les infections sexuellement transmissibles (IST). Il est essentiel de l'utiliser correctement et systématiquement lors de chaque rapport sexuel.
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le préservatif masculin
Fabriqué en latex ou en polyuréthane, il existe une variété de modèles (lubrifiés, parfumés, texturés, colorés, ultrafins, retardants, stimulants) pour répondre aux préférences individuelles. Il est à usage unique et doit être mis en place avant toute pénétration ou fellation. Il est recommandé de s'entraîner à le mettre en place avant le rapport sexuel. Il faut le dérouler sur le pénis en érection, en pinçant l'extrémité pour chasser l'air. Si nécessaire, un gel lubrifiant à base d'eau ou de silicone peut être utilisé. Après l'éjaculation, il faut retirer le préservatif en le tenant par la base.
Les préservatifs masculins sont disponibles en pharmacie, dans les distributeurs automatiques, les supermarchés et sur Internet. Certains préservatifs sont disponibles gratuitement en pharmacie pour les jeunes de moins de 26 ans. Les associations, les centres de santé sexuelle, les centres de dépistage et les infirmeries scolaires en distribuent également gratuitement. Il est important de vérifier qu'ils portent la norme de qualité « NF » ou « CE ».
- Le préservatif féminin
Fabriqué en polyuréthane, en nitrile synthétique ou en latex, il s'agit d'une gaine munie de deux anneaux souples qui recouvre les parois vaginales et les petites lèvres.
Il doit être inséré dans le vagin avant la pénétration. Comme pour le préservatif masculin, il est conseillé de s'entraîner à l'utiliser. Il peut être inséré plusieurs heures avant le rapport sexuel, mais il est à usage unique. Les préservatifs féminins sont disponibles en pharmacie, dans les supermarchés, les distributeurs automatiques et sur Internet. Certains préservatifs féminins sont disponibles gratuitement en pharmacie pour les jeunes de moins de 26 ans. Ils sont également distribués gratuitement dans les associations, les centres de santé sexuelle et les CeGIDD.
La pillule contraceptive
La pilule contraceptive est une méthode efficace pour prévenir les grossesses non désirées, à condition d'être prise correctement. Elle agit en empêchant l'ovulation, c'est-à-dire la libération d'un ovule par les ovaires. Cependant, elle a un impact sur le système hormonal, ce qui nécessite un suivi médical régulier.
Il existe deux principaux types de pilules contraceptives.
- Les pilules combinées (PC)
Elles contiennent deux hormones, un progestatif et un œstrogène. Elles doivent être prises tous les jours à la même heure. Ces pilules bloquent l'ovulation et peuvent, en prise continue, supprimer les règles. Un arrêt de sept jours entre deux plaquettes provoque des saignements. En cas d'oubli de plus de douze heures, la protection contraceptive n'est plus assurée. En dessous de ce délai, la pilule oubliée doit être prise dès que possible, et les suivantes à l'heure habituelle. Il existe une trentaine de marques de pilules combinées, ce qui en fait la formule la plus courante.
- Les pilules progestatives (PP)
Elles contiennent uniquement un progestatif. Elles sont minidosées et doivent également être prises tous les jours à la même heure. Certaines micropilules bloquent l'ovulation, d'autres non. Il est possible de ne plus avoir de règles avec ces pilules, sans que cela n'ait d'incidence sur la santé. Le délai d'oubli autorisé varie selon le type de progestatif : trois heures pour le lévonorgestrel et douze heures pour le désogestrel.
La pilule combinée est généralement la plus prescrite aux jeunes filles. Les pilules de troisième et quatrième génération sont moins couramment prescrites.
Il est important de noter que depuis le 1er janvier 2022, les pilules hormonales de première et deuxième génération sont gratuites pour les jeunes femmes de moins de 26 ans. Elles sont également gratuites pour les personnes non assurées sociales dans les centres de santé sexuelle. Les autres pilules sont vendues sur ordonnance, avec un coût variant de deux à quatorze euros par mois environ, et certaines sont remboursées à 65 %. Il existe également des versions génériques.
La prescription de la pilule nécessite une consultation médicale auprès d'un médecin généraliste ou d'un gynécologue. Le médecin procédera à un examen, posera des questions sur les antécédents médicaux et prescrira des examens biologiques (tension artérielle, circulation sanguine, taux de cholestérol, etc.).
Un suivi médical régulier est indispensable lors de la prise de la pilule, généralement une fois par an. Comme tout médicament, elle peut entraîner des effets secondaires tels que des douleurs mammaires, des nausées ou des saignements. Il est important de signaler tout effet indésirable au médecin, qui pourra conseiller une autre pilule ou une autre méthode contraceptive.
Attention : L'oubli de pilule contraceptive nécessite une réaction rapide et appropriée. La conduite à tenir varie en fonction du type de pilule et du délai écoulé depuis l'oubli. Si un rapport sexuel a eu lieu dans les trois à cinq jours précédant l'oubli, il est impératif de prendre une contraception d'urgence. En cas de doute ou d'inquiétude, un test de grossesse peut être effectué trois semaines après la date de l'oubli. Pour des informations complémentaires et des conseils personnalisés, consultez le site https://questionsexualite.fr.
Autres méthodes hormonales de contraception
Outre la pilule, il existe d'autres options hormonales telles que le patch, l'implant, l'anneau vaginal et les progestatifs injectables. Ces méthodes offrent l'avantage d'une utilisation moins contraignante que la pilule, sans nécessité de prise quotidienne, et présentent généralement moins d'effets secondaires en raison de leur faible dosage en œstrogènes.
Patch contraceptif
Le patch est un timbre adhésif simple à utiliser, appliqué sur la peau sèche (à l'exception de la poitrine) et remplacé chaque semaine pendant trois semaines consécutives, suivies d'une semaine de pause. Il est efficace même sous la douche, dans le bain, à la piscine ou au hammam, et reste efficace jusqu'à 48 heures en cas d'oubli. Les effets secondaires sont similaires à ceux de la pilule, avec des irritations cutanées possibles. Une surveillance médicale est nécessaire. Le patch est prescrit en deuxième intention et est déconseillé aux femmes ne tolérant pas les pilules combinées. Il est vendu sur ordonnance et n'est pas remboursé.
Implant contraceptif
L'implant, un bâtonnet inséré sous la peau du bras sous anesthésie locale, libère un progestatif pendant trois ans, empêchant l'ovulation. Un contrôle est recommandé trois mois après la pose. Les effets secondaires possibles incluent des troubles menstruels, une prise de poids chez les personnes en surpoids et de l'acné. Il est prescrit en deuxième intention aux femmes présentant des contre-indications ou une intolérance aux contraceptifs œstroprogestatifs et aux stérilets, ou ayant des difficultés à prendre la pilule régulièrement. Il est nécessaire de vérifier sa position toutes les deux semaines. L'implant est gratuit pour les moins de 26 ans et remboursé à 65 % pour les autres.
Anneau vaginal
L'anneau vaginal, un anneau souple inséré dans le vagin, libère des hormones pendant trois semaines, suivies d'une semaine de retrait. Il provoque des saignements similaires aux règles. Il nécessite un suivi médical et est prescrit en cas de contre-indications à la pilule. Il n'est pas remboursé.
Progestatifs injectables
Les progestatifs injectables sont administrés par injection intramusculaire tous les trois mois. Ils peuvent entraîner des effets secondaires tels qu'une prise de poids et des troubles menstruels, et sont déconseillés aux adolescentes et aux jeunes adultes. Ils sont remboursés à 65 %, sauf pour les moins de 26 ans, pour qui ils sont gratuits.
Stérilet (DIU)
Le stérilet, un dispositif intra-utérin (DIU) en forme de T, est inséré dans l'utérus par un professionnel de la santé. Le DIU au cuivre inactive les spermatozoïdes, tandis que le DIU hormonal libère un progestatif. Il peut être gardé de quatre à dix ans, avec un contrôle annuel. Il est très efficace contre les grossesses, mais ne protège pas contre les IST. Il peut aggraver les IST préexistantes. Il est remboursé à 65 % et gratuit pour les moins de 26 ans.
Diaphragme et cape cervicale
Ces méthodes barrières nécessitent une certaine pratique et sont utilisées avec des spermicides. Le diaphragme est remboursé à 65 % et gratuit pour les moins de 26 ans, tandis que la cape cervicale n'est pas remboursée.
Spermicides
Les spermicides sont des substances chimiques détruisant les spermatozoïdes. Ils sont vendus sans ordonnance et doivent être associés à d'autres méthodes contraceptives. Ils ne protègent pas contre les IST et ne sont pas remboursés.
Attention : Les méthodes dites "naturelles" (abstinence périodique ou méthode Ogino, méthode des températures, mesure de la quantité d’hormones dans les urines...) ne sont que très peu efficaces et trop aléatoires !! Ne vous y fiez pas et préférez un autre moyen de contraception.
La contraception d'urgence
En cas de rapport sexuel non protégé ou mal protégé, par exemple suite à la rupture d'un préservatif, un oubli de pilule ou un problème avec un autre moyen de contraception, la contraception d'urgence peut être utilisée pour réduire le risque de grossesse non désirée. Il existe deux options : la pilule d'urgence hormonale et le dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre.
Pilule d'urgence
La pilule d'urgence hormonale, ou pilule du lendemain, se présente sous forme de comprimé unique à prendre le plus tôt possible après le rapport à risque, idéalement dans les trois à cinq jours. Son efficacité diminue avec le temps. Elle agit en retardant l'ovulation, empêchant ainsi la fécondation. Cependant, elle est inefficace si l'ovulation a déjà eu lieu. Il est important de ne pas la confondre avec la pilule abortive.
L'utilisation répétée de la pilule d'urgence dans un même cycle menstruel est déconseillée, car elle peut réduire son efficacité. Il existe deux types de pilules d'urgence : celle au lévonorgestrel, efficace jusqu'à 72 heures après le rapport, et celle à l'ulipristal acétate, efficace jusqu'à 120 heures.
En cas de vomissements dans les trois heures ou de diarrhée dans les dix heures suivant la prise, il faut reprendre une pilule d'urgence. Des effets secondaires tels que maux de tête, nausées ou saignements peuvent survenir, mais disparaissent généralement en 48 heures. Il est crucial de reprendre sa contraception habituelle et d'utiliser des préservatifs jusqu'aux prochaines règles, car la pilule d'urgence ne protège pas contre les IST.
La pilule d'urgence est disponible gratuitement et sans ordonnance en pharmacie, sur présentation de la carte Vitale ou d'une attestation de droits. Les mineurs peuvent l'obtenir gratuitement et anonymement en pharmacie, centre de santé ou CeGIDD. Les infirmeries scolaires et les services de santé étudiants la délivrent également gratuitement et anonymement.
Dispositif intra-utérin (DIU) au cuivre
Le DIU au cuivre, ou stérilet au cuivre, peut être posé jusqu'à cinq jours après un rapport non protégé pour bloquer la fécondation et servir de contraception à long terme. Il s'agit d'une tige en plastique avec du cuivre, insérée dans l'utérus, qui rend les spermatozoïdes inactifs et empêche l'implantation d'un ovule fécondé.
Cette méthode est considérée comme la plus efficace, mais nécessite une organisation rapide. Deux rendez-vous sont nécessaires : un pour la prescription et un pour la pose. Après la pose, des saignements, des règles abondantes ou des douleurs abdominales peuvent survenir.
Le DIU au cuivre est gratuit pour les moins de 26 ans sur ordonnance. Pour les autres, il coûte environ 30 euros, remboursés à 65 %.
Se prémunir des IST
En France, de nombreuses personnes vivent avec le VIH sans le savoir, et d'autres infections sexuellement transmissibles (IST) telles que la chlamydiose, le papillomavirus ou l'hépatite B existent.
Le VIH
Le sida est causé par le VIH, un virus qui affaiblit progressivement le système immunitaire, rendant le corps vulnérable aux infections. Une personne infectée par le VIH reste porteuse du virus à vie et peut le transmettre en l'absence de traitement continu. Le VIH se transmet par le sang, le sperme, les sécrétions vaginales, le placenta et le lait maternel, principalement lors de rapports sexuels non protégés. La salive et les contacts directs ne transmettent pas le virus. La séropositivité survient lorsque le virus se multiplie dans l'organisme, et le sida est déclaré lorsque le système immunitaire est gravement affaibli.
Une recrudescence
Les IST, telles que l'herpès génital, la gonorrhée et la syphilis, sont en augmentation, en raison de la baisse de l'utilisation du préservatif et de la multiplication des partenaires. Elles sont causées par des bactéries, des virus ou des parasites transmis sexuellement. De nombreuses IST sont asymptomatiques, mais peuvent provoquer des brûlures urinaires, des lésions génitales ou des sécrétions anormales. Ces symptômes peuvent disparaître puis réapparaître. Il est crucial de consulter un médecin en cas de symptômes et de se faire dépister.
Se protéger
Le préservatif reste la protection la plus efficace contre le VIH et les autres IST. La PrEP, un traitement préventif, est disponible pour les personnes à haut risque d'infection par le VIH.
Se faire dépister
Le dépistage est essentiel pour connaître son statut et protéger ses partenaires. Il peut être effectué chez un médecin, dans un Cegidd, un centre de santé sexuelle ou un centre médico-social. Les autotests sont également disponibles. Le dispositif "Mon test IST" permet un dépistage gratuit du VIH en laboratoire, et depuis 2024, les moins de 26 ans peuvent également se faire dépister gratuitement pour l'hépatite B, la syphilis, la chlamydiose et la gonorrhée.
L'interruption volontaire de grossesse (IVG)
En mars 2024, une décision importante a été prise en France : la liberté de choisir d'avoir un enfant ou non, et donc la possibilité d'avorter (IVG), est maintenant inscrite dans la Constitution. Mais si l'IVG est un droit dont vous disposez, des délais sont à respecter.
S'informer sur l'IVG
> Si vous cherchez des informations sur l'IVG, il existe un seul site internet officiel : www.ivg.gouv.fr. Ce site dépend du ministère de la Santé et explique vos droits, les étapes à suivre et les lieux où l'IVG est pratiquée.
> Un seul numéro de téléphone est fiable pour obtenir des renseignements sur l'IVG : le 0 800 08 11 11. Les appels à ce numéro sont anonymes et gratuits.
> Un autre site internet utile est celui du Planning Familial. Vous y trouverez notamment les adresses des centres les plus proches de chez vous. www.planning-familial.org.
Il faut faire attention aux fausses informations que l'on peut trouver sur internet concernant l'IVG. En 2017, le gouvernement a décidé de punir les sites relaytant de fausses informations en se faisant passer pour des sites officiels ou neutres. Ces sites essaient de décourager les femmes souhaitant interrompre leur grossesse. Le site ivg.net par exemple, raconte des histoires de femmes qui ont mal vécu leur avortement. Il faut donc être prudent.
Recourir à l'IVG
Si vos règles ont quelques jours de retard, vous pouvez acheter un test de grossesse en pharmacie ou en supermarché. Si le résultat est positif, vous êtes probablement enceinte. Il vous faut aller voir votre médecin pour qu'il vous prescrive une prise de sang afin de confirmer le résultat. Cette prise de sang sera remboursée.
Attention aux délais !
Si vous décidez d'interrompre votre grossesse, il faut agir vite. Dans les régions où il y a beaucoup de monde, comme l'Île-de-France, les délais d'attente observés sont de 10 à 15 jours avant de pouvoir être reçu.
L'IVG chirurgicale
Elle peut être pratiquée jusqu'à la fin de la 14ème semaine de grossesse, ce qui correspond à 16 semaines après le premier jour de vos dernières règles.
L'IVG médicamenteuse
Avec des médicaments, elle peut être réalisée jusqu'à la fin de la 7ème semaine de grossesse, soit 9 semaines après le premier jour de vos dernières règles.
Si vous êtes mineure, vous pouvez demander à un adulte de votre choix (un parent, quelqu'un de votre entourage, ou une personne du Planning Familial) de vous accompagner dans vos démarches.
Si vous avez des difficultés, n'hésitez pas à contacter rapidement un centre de santé sexuelle ou l'association locale du Planning Familial. Vous trouverez leurs coordonnées sur ces sites : https://ivg.gouv.fr/les-centres-de-planification.html et www.planning-familial.org.
Les étapes importantes
La première consultation
Premièrement, il faut consulter rapidement un médecin (généraliste, gynécologue, à l'hôpital ou dans un centre d'IVG) ou un/une maïeuticien/sage-femme. Ils vous expliqueront les démarches, les différentes méthodes d'IVG et les risques possibles. Si le professionnel de santé que vous consultez ne pratique pas l'IVG, il doit vous orienter vers un collègue. Il vous donnera également un document d'information. Vous trouverez plus d'informations sur https://ivg.gouv.fr.
L'entretien
Deuxièmement, vous avez la possibilité d'avoir un entretien gratuit avec un conseiller familial ou une assistante sociale dans un lieu indiqué dans le document qu'on vous a donné. Pour les mineures, cet entretien est obligatoire. Après cet entretien, vous recevrez une attestation.
La deuxième consultation
Lors d'une deuxième consultation médicale, vous devrez confirmer par écrit votre décision de vouloir une IVG. Le médecin peut aussi vous demander de faire des analyses pour vérifier si vous avez des infections sexuellement transmissibles ou le VIH, ou une échographie pour dater votre grossesse. C'est pendant cette deuxième consultation que vous choisirez le lieu où aura lieu l'IVG et la méthode qui sera utilisée.
La visite de contrôle
Quatrièmement, dans les 14 à 21 jours suivant l'IVG, vous devez aller faire une visite de contrôle pour vérifier que la grossesse est bien terminée et qu'il n'y a pas de complications. Vous pouvez aussi demander un nouvel entretien si vous en ressentez le besoin, car une IVG n'est pas une chose facile et il est important de pouvoir en parler.
À noter : Les maïeuticiens/sages-femmes sont autorisés à pratiquer les IVG médicamenteuses et, depuis fin 2023, les IVG chirurgicales.
L'IVG médicamenteuse et l'IVG chirurgicale
Il existe deux manières de pratiquer une IVG : soit par chirurgie, soit avec des médicaments. Le choix entre ces deux méthodes dépend du moment où la grossesse est arrêtée, de l'âge de la femme et de sa santé.
L'IVG médicamenteuse
L'IVG médicamenteuse consiste à prendre des médicaments pour arrêter la grossesse. Elle peut se faire dans un centre de santé (sans que la femme reste dormir sur place), chez un médecin en ville, dans un centre de santé sexuelle ou dans un centre de santé qui a un accord avec un hôpital. On peut la pratiquer jusqu'à 7 semaines de grossesse, ce qui correspond à 9 semaines après le début des dernières règles.
L'IVG médicamenteuse se déroule en trois étapes.
> La prise d'un premier médicament (la mifépristone) pour stopper la grossesse.
> La prise d'un second médicament (le misoprostol), 24 à 48 heures après la prise du premier, pour faire sortir l'œuf. > Entre 14 et 21 jours après la prise du premier médicament, la visite de contrôle (avec une échographie ou une prise de sang).
La prise des médicaments peut se faire pendant une consultation ou à la maison. Pour le deuxième médicament, il est possible de rester quelques heures à l'hôpital. On peut aussi faire toute ou une partie de l'IVG médicamenteuse par téléphone ou en visio avec un médecin. Cette méthode peut provoquer des douleurs comme des règles fortes et des saignements. Il est conseillé de se reposer quelques heures après avoir pris les médicaments.
L'IVG chirurgicale
L'IVG chirurgicale peut être pratiquée dans un hôpital public ou privé, ou dans certains centres de santé autorisés. On peut la faire jusqu'à la fin de la 14ème semaine de grossesse, soit au maximum 16 semaines après le début des dernières règles. Elle nécessite de rester quelques heures à l'hôpital dans la journée (sans y dormir).
Sous anesthésie locale ou générale, le médecin utilise une méthode d'aspiration pour retirer l'œuf. L'intervention se passe dans une salle d'opération et dure environ dix minutes. Une consultation de suivi a lieu entre 14 et 21 jours après.
Le coût de l'IVG
Tous les frais liés à l'IVG (consultations, analyses, échographies...) et l'IVG elle-même sont pris en charge à 100 % par l'Assurance maladie pour toutes les femmes assurées, les mineures qui ont des droits et les femmes qui bénéficient de l'aide médicale de l'État (AME). Vous n'avez donc pas d'argent à avancer.
À noter : Il est important de savoir que tous les professionnels de santé que vous rencontrez doivent garder le secret sur ce que vous leur dites. Même si vous êtes mineure, ils n'ont pas le droit de prévenir vos parents ou de répéter ce que vous leur avez confié. L'anonymat doit être proposé à toutes les femmes, y compris les mineures. Ainsi, aucune information concernant l'IVG n'apparaît sur les documents de l'Assurance maladie.
Un numéro vert pour s’informer
Sexualités — Contraception — IVG, des conseillers répondent à vos questions au 0 800 08 11 11. Anonyme et gratuite, cette ligne est accessible le lundi de 9h à 22h et du mardi au samedi de 9h à 20h.
Les violences sexuelles
En 2024, les services de sécurité ont enregistré 122 600 victimes de violences sexuelles, un nombre en hausse de 7 % par rapport à 2023. Si vous êtes victime de telles violences, de nombreuses organisations peuvent vous apporter de l'aide. Le plus important est de parler de ce que vous avez vécu et de ne pas rester seul.
Ce que dit la loi
La loi française vous protège contre différentes formes de violences sexuelles. Cela va des simples attouchements jusqu'au viol, en passant par le fait d'être forcé à poser pour des photos pornographiques. Le viol est un crime qui peut être puni de 15 ans de prison jusqu'à la prison à perpétuité.
Il existe d'autres formes de violence sexuelle interdites par la loi. C'est le cas de l'excision, qui est une mutilation du sexe féminin. Si vous voulez en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez contacter le GAMS (Groupe pour l’abolition des mutilations sexuelles) sur leur site internet : https://federationgams.org.
À qui s'adresser ?
Si vous avez subi des violences sexuelles, surtout essayez de ne pas vous isoler ! Parlez de ce que vous avez vécu si vous le pouvez. Cela peut vous aider à vous sentir mieux, aussi bien physiquement que mentalement.
Il est conseillé d'aller voir votre médecin traitant, et/ou de contacter des organismes spécialisés pour vous aider et vous renseignez sur vos droits, ce que vous pouvez faire.
Les sites internet et lieux ressources :
-
Les centres de santé sexuelle : https://ivg.gouv.fr/les-centres-de-sante-sexuelle.html
-
Les associations du Planning Familial : www.planning-familial.org
-
Les services de santé pour les étudiants de votre universités.
-
Les Maisons des adolescents : https://anmda.fr
-
L'association France Victimes : www.france-victimes.fr
-
Le Collectif féministe contre le viol : https://cfcv.asso.fr.
À noter : sur https://arretonslesviolences.gouv.fr vous retrouverez la liste des associations nationales et celles proches de chez vous qui peuvent vous aider. Vous pouvez également signaler une violence en ligne.
Obtenir de l'aide par téléphone via les numéros suivants :
> Police Secours : le 17
Ce numéro d'urgence reste le numéro à composer en cas de danger immédiat nécessitant une intervention policière.
> Violence femmes info : le 3919
Ce numéro national d'écoute téléphonique est spécifiquement dédié aux femmes victimes de violences (conjugales, sexuelles, etc.). Il est gratuit, anonyme et accessible 24h/24, 7 jours sur 7.
> Aide aux victimes : le 116 006 (ou le 00 33 (0) 1 80 52 33 76 si vous n'êtes pas en France métropolitaine)
Ce numéro national, géré par la fédération France Victimes, offre une écoute et une orientation aux victimes de toutes infractions pénales, y compris les violences sexuelles. Il est gratuit, anonyme et disponible 7 jours sur 7, de 9h à 20h.
> Le Fil santé jeunes : le 0 800 235 236.
Ce numéro est dédié aux jeunes de 12 à 25 ans et propose une écoute et des informations sur des questions de santé, y compris le mal-être lié à des violences. Il est gratuit, anonyme et accessible 7 jours sur 7 de 9h à 23h.
> Viol femmes Informations du CFCV (Collectif féministe contre le viol) : le 0 800 05 95 95
Ce numéro, géré par le Collectif Féministe Contre le Viol, offre une écoute, un soutien et des informations spécifiques aux victimes de viols et d'agressions sexuelles. Il est gratuit, anonyme (y compris depuis les portables) et accessible du lundi au vendredi de 10h à 19h.
En cas de viol
Si vous avez subi un viol, il est très important de voir un médecin au plus vite. Vous pouvez aller chez votre médecin traitant ou aux urgences d'un hôpital, ou encore au service de gynécologie. Ne vous lavez pas avant de voir le médecin. Il fera les examens nécessaires, qui peuvent être très importants si vous décidez de porter plainte ensuite. Le médecin pourra aussi vous donner une contraception d'urgence et un traitement pour éviter le VIH.
Voici des numéros de téléphone qui peuvent vous être utiles :
-
Le 15 vous permet de joindre le Samu (service d'aide médicale urgente) à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit.
-
Le 18 vous met en contact avec les pompiers.
-
Le 112 est un numéro qui fonctionne dans toute l'Union européenne et vous permet de joindre les services d'urgence (comme le Samu ou les pompiers).
-
Le 114 est un numéro d'urgence spécialement conçu pour les personnes sourdes ou malentendantes qui sont victimes ou témoins d'une urgence. Elles peuvent l'utiliser pour demander l'aide des secours (à la place du 15, du 17 ou du 18).
-
Le 17 vous permet de contacter la police.
Retrouvez également les adresses et contacts utiles dans les rubriques ci-dessous.
Dispositifs et aides
Dispositifs d’accompagnement
https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/contraception-et-ivg-1
- Agence Régionale de Santé Hauts-de-France :
-
556 avenue Willy Brandt
59777 - Euralille
LÉIA EST LÀ est une Ligne d’Écoute, d’Information et d’Aide à destination de toute personne qui se questionne sur son orientation sexuelle et/ou son identité de genre. Ce dispositif vient également en aide aux personnes victimes de LGBTQIA+phobie.
Les écoutant·e·s de LÉIA EST LÀ répondent aux appels (0800 004 134, 7j/7 de 8h à 23h, service & appel gratuits) des personnes en questionnement sur leur orientation sexuelle et/ou leur identité de genre, peu importe leur âge. Les proches et les professionnels qui souhaitent des réponses peuvent aussi appeler.
Ce service est aussi accessible gratuitement par mail (réponse apportée sous 48h) et par livechat (7j/7, de 9h à 21h, gratuit).
- SIS-Association :
-
261 rue de Paris
93100 - Montreuil
Carnet d'adresses
- Maison départementale des solidarités et de l'insertion et Centre de santé sexuelle - Friville Escarbotin
-
1 bis rue Frédéric Chopin
Maison départementale des Solidarités et de l’insertion (MDSI)
80130 - Friville-Escarbotin
- Centre de santé sexuelle - Amiens Etouvie
-
124 route d'Abbeville
MDSI - Bâtiment 0 - Hall A
80000 - Amiens
- Maison départementale des solidarités et de l'insertion et Centre de santé sexuelle - Corbie
-
6 rue du Quai
Maison départementale des solidarités et de l'insertion
80800 - Corbie
- Maison départementale des solidarités et de l’insertion et Centre de santé sexuelle - Albert
-
1 rue du Bois le Comté
Maison départementale des solidarités et de l’insertion
80300 - Albert
- Maison départementale des solidarités et de l’insertion et Centre de santé sexuelle - Montdidier
-
Chemin du Tour de Ville
Maison départementale des solidarités et de l’insertion
80500 - Montdidier
- Maison départementale des solidarités et de l’insertion et Centre de santé sexuelle - Rue
-
Rue de Canteraine
Maison départementale des solidarités et de l’insertion
80120 - Rue
- Centre de santé sexuelle - Amiens Nord
-
1 bis rue Maurice Ravel
Espace santé Maurice Ravel
80000 - Amiens
- Maison départementale des solidarités et de l’insertion et Centre de santé sexuelle - Roye
-
Rue Pasteur
Maison départementale des solidarités et de l’insertion
80700 - Roye
- Maison du Département Solidarité et Centre de santé sexuelle - Béthune
-
8 rue Boulteux
Maison du Département Solidarités
62400 - Béthune
- Maison Nord Solidarités - Aulnoye Aymeries Le Quesnoy
-
48 avenue Joliot Curie
Maison Nord Solidarités
59620 - Aulnoye-Aymeries
- Centre de santé des étudiants - Université de Lille - Campus Cité Scientifique
-
Avenue Poincaré
Campus Cité scientifique
59650 - Villeneuve-d'Ascq
- Centre de santé des étudiants - Université de Lille - Campus Moulins/Ronchin
-
125 boulevard d'Alsace
59024 - Lille
- Centre de santé des étudiants - Université de Lille - Campus Pont-de-Bois
-
Maison de l'étudiant - Rue du barreau
Bâtiment A, entrée A8
59650 - Villeneuve-d'Ascq
- CIDFF -Centre d'information sur les droits des femmes et des familles - Antenne d'Abbeville
-
6 rue du Chevalier de la Barre
80100 - Abbeville
- CIDFF -Centre d'information sur les droits des femmes et des familles - Permanence Beauvais Argentine
-
7 avenue Jean Moulin
La Bulle
60000 - Beauvais
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles de la Somme
-
50 rue Riolan
80000 - Amiens
- Centre de santé sexuelle et d'orthogénie - Centre Hospitalier Le Cateau Cambrésis
-
28 boulevard Paturle
Centre Hospitalier
59360 - Le Cateau-Cambrésis
- Centre de santé sexuelle et d'orthogénie - Centre Hospitalier de Chauny
-
94 rue des Anciens Combattants AFN et TOM
Centre Hospitalier
02303 - Chauny
- Centre de santé sexuelle et d'orthogénie - Armentières
-
112 rue Sadi Carnot
Centre Hospitalier
59280 - Armentières
- Centre de santé sexuelle - Centre Hospitalier d'Abbeville
-
43 rue de l’Isle
Centre Hospitalier rez-de-chaussée
80100 - Abbeville
- Centre de santé sexuelle et d'orthogénie - Centre Hospitalier de Denain
-
25 bis rue Jean Jaurès
BP225 59723 - Denain Cedex
- Centre de santé sexuelle et d'orthogénie - Centre Hospitalier de Tourcoing
-
155 rue du Président Coty
Hôpital Chatiliez Rez-de-chaussée Haut
BP619 59208 - Tourcoing Cedex
- Service de gynécologie et d'obstétrique - Centre Hospitalier de Doullens
-
6 rue Routequeue
Centre Hospitalier
80600 - Doullens
- Centre périnatale de proximité et Centre de santé sexuelle - Centre hospitalier de Péronne
-
Place du Jeu de Paume
Centre Hospitalier de Péronne
CS 90079 80201 - Péronne
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles du Pas-de-Calais
-
1 rue Charles Péguy
62000 - Arras
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles de L'Aisne
-
Clémentine MACKE
Coordinatrice de la Fédération Régionale des CIDFF Hauts-de-France
02100 - Soissons
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles de Béthune
-
335 rue Fernand Bar
62400 - Béthune
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles de Boulogne sur Mer
-
36 grande rue
62200 - Boulogne-sur-Mer
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles de Dunkerque
-
50 rue du jeu de mail
59140 - Dunkerque
- CIDFF - Centre d'information sur les droits des femmes et des familles Nord
-
198 rue de Lille
59100 - Roubaix
- Centre de santé sexuelle et centre de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Margny-lès-Compiègne
-
62 rue Molière
Espace Petite Enfance et Famille
60280 - Margny-lès-Compiègne
- GAMS - Groupe pour l'abolition des mutilations sexuelles - Délégation Hauts-de-France
-
56 rue de Lille
Maison des Associations
59491 - Villeneuve-d'Ascq
- Le Planning Familial du Pas-de-Calais 62
-
la Maison des Associations Michel Darras
45 rue François Gauthier
62300 - Lens
- Maison départementale de la Solidarité et Centre de santé sexuelle - Breteuil
-
58 rue Basse St Cyr
Maison départementale de la Solidarité
60120 - Breteuil
- Maison Départementale des solidarités et Centre de santé sexuelle - Chambly
-
158 rue Raymond Joly
Maison Départementale des solidarités
60230 - Chambly
- Centre de santé sexuelle - Crépy-en-Valois
-
76 rue St Lazare
Antenne Maison Départementale de la Solidarité
60800 - Crépy-en-Valois
- Maison départementale de solidarité et Centre de santé sexuelle - Grandvilliers
-
16 rue d'Amiens
Maison départementale de solidarité
60210 - Grandvilliers
- Maison départementale de solidarité et Centre de santé sexuelle - Méru
-
7 rue François Truffaut
Maison départementale de solidarité
60110 - Méru
- Maison départementale de solidarité et Centre de santé sexuelle - Noyon
-
97 boulevard Schumann
Maison départementale de solidarité
60400 - Noyon
- Maison départementale de solidarité et Centre de santé sexuelle - Pont-Sainte-Maxence
-
2 rue Claude Chappe
Maison départementale de la solidarité de Pont-Sainte-Maxence
60700 - Pont-Sainte-Maxence
- Maison départementale de solidarité et Centre de santé sexuelle - Senlis
-
27 avenue Etienne Audibert
60300 - Senlis
- Maison Départementale de la Solidarité et Centre de santé sexuelle - Beauvais
-
69 avenue Victor Hugo
Maison Départementale de la Solidarité Boislille
60000 - Beauvais
- Maison Départementale de la Solidarité et Centre de santé sexuelle - Mouy
-
1 passage des écoles
Maison Départementale de la Solidarité
60250 - Mouy
- Maison Départementale de la Solidarité et Centre de santé sexuelle - Saint-Just-en-Chaussée
-
23 rue de Picardie
Maison Départementale de la Solidarité
60130 - Saint-Just-en-Chaussée
- Centre de santé de l'université polytechnique des Hauts de France - Campus de Cambrai
-
6 rue Rambouillet
59400 - Cambrai
- Centre de santé de l'université polytechnique des Hauts de France - Campus des Tertiales Valenciennes
-
Rue des Cent Têtes
59300 - Valenciennes
- Centre de santé de l'université polytechnique des Hauts de France - Campus du Mont Houy Valenciennes
-
Maison des Services à l’Étudiant
59313 - Valenciennes
- Unité Mobile d'Alcoologie - CHU Amiens Sud
-
1 Rond-Point du Professeur Christian Cabrol
Site Sud – Entrée Principale
80054 - Amiens Cedex 1
- Centre de santé sexuelle - Auchel
-
Centre social La Goutte de lait
Avenue du Général de Gaulle
62260 - Auchel
- Centre de santé sexuelle - Bruay La Buissière
-
75 rue du commandant de l'Herminier
Maison du Département Solidarités
62702 - Bruay-la-Buissière
- Centre de santé sexuelle - Lillers
-
9 rue Ambroise Croizat
Maison du Département Solidarités
62190 - Lillers
- Centre de santé sexuelle - Le Portel
-
Maison de la Petite Enfance et de la Santé
2 rue Lucie Aubrac
62480 - Le Portel
- Centre de santé sexuelle - Carvin
-
64 rue jean Moulin
Maison du Département Solidarité
62220 - Carvin
- Centre de santé sexuelle - Bully les Mines
-
3 rue Brasme
Maison du Département Solidarité
62160 - Bully-les-Mines
- Centre de santé sexuelle - Etaples
-
31 rue de la Pierre Trouée
Maison Département Solidarité
62630 - Etaples
- Centre de santé des étudiants - Université de Lille - Campus Santé Loos
-
Faculté de médecine pôle formation
Avenue Eugène Avinée
59120 - Loos
- Centre de santé des étudiants - Université de Lille - Campus Roubaix/Tourcoing
-
Antenne IMMD/LEA
651 avenue des Nations Unis
59100 - Roubaix
- Service de santé universitaire - SSU Campus Sud - UPJV
-
Campus du Thil
Rue du Campus
CS 52501 80025 - Amiens Cedex 1
- Centre de santé sexuelle - Fourmies
-
65 rue Jean Jaurès
Bâtiment de la Protection Sociale Département du Nord
59610 - Fourmies
- Centre de santé sexuelle et Protection Maternelle Infantile (PMI) - Annœullin
-
Rue Maurice Wattrelot
Centre Bruno Bettelheim
59112 - Annoeulin
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Comines
-
Maison de l’Enfance
9-11 rue Gambetta
59560 - Comines
- Centre de santé sexuelle de l'Hôpital Alexandra Lepève - Dunkerque
-
38 rue du Pont Neuf
BP6367 59220 - Dunkerque
- Centre de santé sexuelle espace santé du Littoral - Grande Synthe
-
20 rue Georges Clemenceau
59760 - Grande Synthe
- Maison Nord Solidarités et Service de Prévention Santé - Haubourdin La Bassée
-
16 rue d’Englos
BP118 59320 - Haubourdin Cedex
- Centre de santé sexuelle et centre de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Hautmont
-
1 rue de la Sucrerie
59330 - Hautmont
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle Infantile (PMI) - Lambersart
-
Résidence Les Coquelicots
7 bis rue Châteaubriand
59130 - Lambersart
- Maison Nord Solidarités, centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle Infantile (PMI) - Le Quesnoy
-
40 chemin des Croix
59530 - Le Quesnoy
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Leffrinckoucke
-
12 rue de la République
Espace Social
59495 - Leffrinckoucke
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Lille Long Pot
-
95 rue du Long-Pont
59000 - Lille
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Lille Febvrier
-
3/5 Place Jacques Fébvrier
https://solidarites.lille.fr/acteur/50/3-centre-de-consultation-de-pmi-de-lille-moulins.htm
59000 - Lille
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Lille Valmy
-
8 rue Valmy
59000 - Lille
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle Infantile (PMI) - Lomme
-
60 rue Victor Hugo
Espace des Tisserands (sous-sol)
59160 - Lomme
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Marquette Lez Lille
-
Maison de la Famille
38 rue du Quesnoy
59520 - Marquette Lez Lille
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Mons-en-Barœul
-
Avenue René Coty
Centre Camille Guérin
59370 - Mons en Baroeul
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Ostricourt
-
535 Boulevard des 25 Nonnes
Maison Nord Solidarités
59162 - Ostricourt
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle Infantile (PMI) - Ronchin
-
LCR Champ du Cerf
Rue Alfred de Musset
59790 - Ronchin
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Roubaix Cassel
-
45 rue de Cassel
59100 - Roubaix
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Roubaix 3 ponts
-
34 rue Léonie Vanhoutte
59100 - Roubaix
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Roubaix Nabuchodonosor
-
22 rue Nabuchodonosor
59100 - Roubaix
- Centre hospitalier d'orthogénie et de santé sexuelle Simone Veil - Roubaix
-
80 rue de Beaumont
59100 - Roubaix
- Centre de santé sexuelle et Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Roubaix Montesquieu
-
96 boulevard de Montesquieu
59100 - Roubaix
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Saint Amand les Eaux
-
161 rue Faubourg-de-Tournai
59230 - Saint Amand les Eaux
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - La Madeleine Saint André Lez Lille
-
67 rue du Général Leclerc
59350 - Saint André Lez Lille
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Somain Orchies
-
38 rue Gambetta
59490 - Somain
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Cysoing
-
16 place Faidherbe
59830 - Cysoing
- Service de prévention santé - Tourcoing
-
Maison de la petite enfance
12 boulevard de l’Egalité
59200 - Tourcoing
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Tourcoing Galilée
-
4 chaussée Galilée
59200 - Tourcoing
- Centre de santé sexuelle et de la Petite Enfance Simone Veil - Villeneuve d’Ascq
-
Rue Simone Veil
59650 - Villeneuve d’Ascq
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile Corneille (PMI) - Villeneuve d’Ascq
-
Rue Corneille
59650 - Villeneuve d’Ascq
- Centre de santé sexuelle et Centre de la petite enfance (PMI) - Wasquehal
-
22 rue Louis Lejeune
59190 - Wasquehal
- Centre de santé sexuelle et de Protection Maternelle et Infantile (PMI) - Wattrelos
-
1 rue Frédéric Chopin
Centre social de la Mousserie
59190 - Wattrelos
- L'Echappée - collectif lillois de lutte contre les violences sexistes et sexuelles
-
70 rue des Postes
59000 - Lille
- Maison Nord Solidarités et centre de la Protection Maternelle Infantile (PMI) - Dunkerque Wormhout
-
325-327 rue de la République
Saint-Pol-Sur-Mer
59430 - Dunkerque Saint-Pol-sur-Mer
- Maison Nord Solidarités et centre de la Protection Maternelle Infantile (PMI) - Dunkerque Hondschoote
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55 rue Jules Guesdes - Dunkerque
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Association internationale des victimes de l’inceste
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Application "Bien dans ma sexualité"
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Le Planning familial
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